New York est une ville immense, avec un métro immense et des immeubles immenses et malheureusement pour Michael il lui arrive toujours de se perdre. Il avait beau avoir le quotient intellectuel d'Einstein il n'arrivait pas a se souvenir de tout le plan de la vie par cœur encore ! Sept heures, quarante-six minutes et douze secondes avant que son service commence et qu'il n'arrive à l'heure au boulot pour une fois j'espère . Autant dire que qu'il le temps, il était à peine midi et demi donc plus de six cent victimes potentielles pour traverseront Time square avec derrière eux un psychopathe échappé d'un asile qui cherche son "profil type" de victime. Précision, ce n'est pas lui le psychopathe, mais celui qu'il cherchait, en fait. Des restaurants, des boutiques et des bureaux, donc du monde, parfait pour trouver sa prochaine victime. Pourquoi il réfléchissait a la place d'un tueur alors qu'il n'était en rien profiler ? Il s'amusait à ça, alors que son Job était de trouver des réponses potentielle dans les objets ou les personnes. Au final, il n'est qu'un gamin insolent, têtu et abruti qu'on à fait venir de l'autre côté de l'océan. Ici il avait du mal a survivre. Entre la nourriture hypercaloriquement infecte et la difficulté a trouver de la nourriture biologique, végétarienne, et de bon gout il avait hâte de retourner un court séjour en France. Pouvoir bouffer du pain, du fromage, des croissants et boire vin sans qu'il ne lui coûte trois cent dollars et quelques. En plus voir sa famille lui ferrait du bien, oublier que ceux qui l'attendait à New York n'est que le tas de dossier posé sur son bureau donc les victimes lui sont inconnus au bataillon.
Au coin de la 42ème rue le miracle arriva enfin. Un resto Japonais. Pas de chef quatre étoile française, des sushi et autres plats venant du Japon. Rien à voir avec son pays natif mais l'une des nourriture qui pouvait également le satisfaire. Manger près de la fenêtre n'était pas une si bonne idée. En face, un fastfood et des Américains typique qui tenait sur deux chaises avec, posé devant eux l'équivalent d'une semaine de nourriture pour Michael. Un léger haut-le-cœur au bord des lèvres le forçait à mettre un terme à son repas plus vite que prévu. Michael engloutit les derniers sushi disposer dans un ordre parfait sur le plateau et allait régler l'addition au plus vite. Elle lui manquait sa petite France. Pourquoi on ne l'avait pas envoyé au Japon ?! Question débile qu'il se posait souvent.
de retour dans les rues de la ville, rien de spécial. Une ou deux -enfin non, douze- personne bousculèrent le jeune Michael malgré sa visibilité du à sa taille et à ses multiple dessin coloré sur la peau qui devait pourtant attirer le regard des passants presser d'aller au travail, tout comme lui l'était parfois.
Une voiture de police, puis deux, puis trois. Superbe, on passait devant lui mais il n'était pas venu une seconde à l'esprit de ses cons de collègues de l'emmener voir ce qui se passait! Simple réflexion que Michael se faisait pendant qu'il marchait dans les rues histoire de retrouver les voitures.
Vingt minutes plus tard, 70ème avenue.
Une trentaine de personne au milieu d'une ruelle, des voitures de police et un beau camion rouge, il ne s'était pas trompé d'adresse, youpi ! Michael fendit la foule, non sans écraser quelques pieds et bousculer les passants qui regardaient le cadavre gisant, d'autres flics récoltaient des témoignages. Les pompiers était la pour évacuer le corps de la femme finalement morte alors que la criminelle l'inspectait. J'étais assez fière de moi une fois arrivé devant la bande jaune de sortir mon pass et de passer sous la limite autorisé aux curieux.
Femme, environ trente ans, victime d'une balle. Aussi simple que cela, pas de quoi me réjouir donc. Corps déplacé, aucune trace, aucun indice, quedal. Mon job était déjà fini pour l'instant. Le temps de l'autopsie et je récupèrerais la balle et les autres indice qu'il il m'atiat incapable de voir ou d'analyser. Surtout que mon patron était là
On emmenait enfin la fille, un homme en pleure était assis au bord du camion de pompier une couverture sur le dos et une tasse a la main. Je fermais les yeux. Pas besoin d'explication, je me sentis mal pour lui. J'ai tué celle qu'il aimait mais je connais les humains, professionellement s'entend. Ils disent aimer, pour la plupart et une décénie plus tard, même parfois moins, ils retombent amoureux. Aucun autre sang ne chantera pour moi en dehors du siens. Je l'es attendue trois cent ans, personne ne prendra sa place dans mon "cœur". La différence avec les humains c'est le temps. Nous avons l'éternité et une fois qu'on a aimé c'est compliquer d'aimer vraipent quelqu'un d'autres. Heureusement pour moi je n'aurais jamais à vivre ça. Un siflement strident s'echappa malgré moi de ma gorge. Je fit demi-tour rapidement.Même si je ne regrettais vraiment pas le plaisir que la tuer m'avais procuré disons que son fiancé lui, allait me hanter pendant au moins.. Une heure. Je fendais la foule avec un minimum de discrétion avant de rentrer dans quelque chose, ou plutôt quelqu'un.
Je rouvris les yeux.