Cry

"hey..reveille toi, le beau brun.. Dady va finir par croire que je t'épuise mon chou" 

Une voix suave contre mon oreille, une sorte de murmure qui me donna des frisons. Si je ne connaissais pas cette voix et ces mains qui parcouraient mon dos alors j'aurais pu croire à un reve. La douceur familière des draps en soie, et la chaleur du soleil qui venait calmer mes quelques frissons, comme toujours. J'étais dans mon lit, accompagné de ma meilleure amie qui devait sûrement porter la même tenue qu'hier au soir lorsque je me suis endormit, tenu parfaitement adaptée à son métier, tenue de pute. Hors il n'en était rien, ses mains avait quitté mon dos pour ce poser sur ma joue, un léger bruit de drap, signe qu'elle c'était légèrement redressée et surtout collée à moi. J'ouvris les yeux pour tomber nez à nez et c'était peu de le dire, avec sa poitrine totalement collée à mon visage. Un mouvement de recule et une injure contre elle et sa lubie de vouloir me faire faire une crise cardiaque. Tyler avait du avoir besoin de se déshabiller cette nuit pour faire croire à je ne sais pas qui que elle et moi avions passés du bon temps avant que je ne tombe de sommeil. A cause de sa connerie j'étais bel et bien réveillé. Sexy le réveil mais même... Non pas que ce fut la première fois que je la vois nue, loin de la même, mais ce réveiller avec une paire de seins sous le nez, sachant que c'était les siens, cela me perturbais grandement.
Une main tendu et nous nous levions pour aller prendre une douche, toujours ensemble. C'était devenu une habitude finalement, n'importe qui aurait ou croire que nous formions un couple comme tout le monde hors jamais rien ne c'était passé entre nous hormis nos comédies pour les hommes de mains de mon perré et leurs visites dans mon bureau. Je ne dis pas qu'elle ne s'amuse pas à me tripoter en dehors également  -parfois au limite du raisonnable- mais que rien de sentimental n'était la et que, hormis ces "tripotages" nous n'avions jamais rien fait ensemble. Rien de bien sérieux quoi, Tyler est payée à rien foutre, si ce n'est veiller sur moi lorsque j'en ai besoin.
Notre douche à deux terminée, Tyler et moins sommes retournés nous habiller, évidement. Quelques bruit de pas nous interrompirent alors que je finissait d'enfiler ce maudit costume En moins de cinq secondes, le vide devant moi c'était comblé par Tyler qui m'emportait par la ceinture contre un mur. Mesure de sécurité, il me suffisait de l'embrasser et elle, se chargeait du reste dans la majeur partie des cas. Les bruits de pas s'arrêtèrent devant la porte de ma chambre, quelqu'un était donc dans mon bureau à écouter ce qui se tramait. La aussi, c'était à Tyler de jouer pendant que je me séparait d'elle et de notre étrange proximité. En temps que prostituée, Tyler c'était tapée plus de mec dont les capacités au lit ne dépassait pas les performances d'un gamin de douze ans qui vient d'apprendre à se branler et donc, maitrisait l'art de la simulation mieux que n'importe qui...et heureusement pour moi. Je fini de m'habiller à là va vite, cravate mal mise et chemise froissée. Cet accoutrement ne m'enchante guère a chaque fois que je dois le porter, à croire que je ne suis pas le fils de mon père question étique et vestimentaire. J'avais beau de consoler avec les dire de Tyler, peut-être avait elle raison et que j'étais plus remarqué la dedans. Quoi que son raisonnement était débile. En t shirt dehors avec un vieux jean troué et des chaussures qui ne sont pas des espèces de palmes j'étais tout aussi observé, c'était sûrement du à l'inhabitude des passants à me voir comme ça moi, et le taux d'encre gravé dans la peau. 
Finalement le mec se cassa et Tyler partit à la chasse à l'homme dans la ville.
Drôle de métier à 19 et quelques balais, quand on sait que mon père doit la payer les yeux de la tête pour être à ma disposition toute la journée. D'ailleurs c'était lui que je devais voir, mon père. Non pas que cela m'enchante d'aller fouiner dans ses affaires de drogue mais si quelqu'un était venu me voir..cela voulait dire qu'on voulait me voir, ou du moins uqe j'allais recevoir le sermont de ma vie pour dieu ne sait quelle raison...ou bien, j'allais simplement avoir droit à un cours de dealage par mon géniteur. la seule chose qui nous lient mon père et moi c'est el sang. Je déteste être comparé à lui, associé à lui et pourtant je suis fière d'être son fils. c'était à ça que je pensais en traversant les long couloirs jusqu'au bureau de mon père ou ce tenait un grand costaud qui aurait pu me tuer en me touchant. m'adosser au mur me semblait être la meilleure chose à faire en attendant que le bureau ce libère, le costaud s'en alla. Mon père devait avoir rendez-vous avec une Tyler, une pute quoi et comme je l'ai souligné juste avant, mon père et moi sommes différent. Foutez-lui une blonde à gros seins sous le nez..Marié ou non, je sais qu'il craquerais. Ma pauvre mère est au courant, évidement. C'est l'une des choses qui me fond regretter qui je suis, un môme né d'un amour débile d'une adolescente prostituée tombée dnas les filets qu'il fils de riche dealer. Est-ce que je finirais comme lui moi ? Je suppose que non. Voilà la seule chose qui nous différencie moi, et mon père. Le respect.
La porte s'ouvrit, en sortit une jeune femme que j'avais déjà, sortir régulièrement de ce bureau. Tout sauf le portrait d'une prostituée de luxe que nous envois les Maggioli. Une brune, assez grande, poitrine non refaite et habillée comme n'importe qui, si on oublie le fait qu'elle porte très souvent les mêmes vêtements. Loin de ce à quoi je me suis habitué à voir passer dans mon bureau ou dans ce même couloir. Une fille normale, tout sauf le genre de mon père, ce qui me fis rire.
«Les prostituées ne sont plus ce qu'elle étaient ou Horatio à bu un coup de trop aujourd'hui..»